Changes at "Jonathan Pedneault"
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Jonathan Pedneault (1990) is a journalist and human rights activist. He has investigated human rights violations and war crimes in countries such as Ukraine, Afghanistan, Central African Republic and South Sudan for Human Rights Watch and Amnesty International.
Previously, he trained South Sudanese and Central African reporters to conflict-sensitive journalism.
From 2008 to 2012, he co-directed two documentaries for CBC/Radio-Canada: \"The New Great Game\", about the multipolarization of the Middle East's maritime spaces, and \"Refuge: A Film on Darfur\".
Pedneault speaks French, English, Spanish and Norwegian. He grew up in Québec. His first novel \"Toi Aussi Mon Fils\" was published in 2017.
", "Jonathan Pedneault (1990) est un journaliste et activiste des droits humain. Il a enquêté pour Human Rights Watch et Amnesty International sur les violations et crimes de guerre dans divers pays tel l’Ukraine, l’Afghanistan, la République centrafricaine et le Soudan du Sud.
Il a précédemment formé des reporters sud-soudanais et centrafricains au journalisme sensible aux conflits.
De 2008 à 2012, il a coréalisé deux documentaires pour Radio-Canada/CBC : « Le Nouveau Grand Jeu », à propos de la multipolarisation des espaces maritimes du Moyen-Orient, et « Refuge : un film sur le Darfour ».
Pedneault parle français, anglais, espagnol et norvégien. Il a grandi au Québec. En 2017, il a publié le roman : « Toi Aussi Mon Fils. »
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At age 17, Jonathan Pedneault smuggled himself into Darfur in the back of a pick-up truck filled with rebels to document this deadly rights and environmental crisis for a CBC/Radio Canada documentary. By then, he had spent two years giving conferences to fellow students about genocide and Canada's responsibility to prevent mass atrocities. That was his first foray into foreign reporting.Â
A gay, mixed-race single son of a single mom, Jonathan was raised in poorer suburbs of Montreal. An early understanding of how privileged he was to be born Canadian impacted everything he later set about to do. For Jonathan, privilege comes with immense responsibilities. And he is one to take responsibility seriously.Â
Over the next fifteen years, Jonathan worked to report on crises throughout the world and advocate for greater accountability and global social justice.Â
Through his work, Jonathan interviewed fishermen in Somalia who had turned to piracy to fight off illegal fishing, documented sexual abuses by UN peacekeepers in the Central African Republic, witnessed failed revolutions in Egypt and Libya and documented excessive force by police in places as diverse as Chile, Belarus and the United States.Â
With two years spent living on Svalbard, in the high arctic, and years reporting from places affected by extreme weather events such as the Sahel and Central Asia or with refugees leaving drought and hurricane affected Central America to face abuses at southern US borders, Jonathan has been in the belly of the climate beast. He knows what's coming. And why we need to urgently get our act together.Â
Jonathan is an organized thinker, who seeks impact in everything he does. He believes the Green Party of Canada is the only party that has shown the moral courage and strength needed to face the coming crises. But he believes the party too needs to get its act together, and project itself as the credible alternative it is. Together with Elizabeth May, he's asking the membership for a mandate to empower the GPC to implement the changes Canadians from coast to coast to coast need. It is, after all, our shared responsibility.
", "Ă€ l'âge de 17 ans, Jonathan Pedneault s'est introduit clandestinement au Darfour avec des rebelles soudanais afin d'y documenter la crise meurtrière s'y dĂ©roulant. Il s'agissait de son premier documentaire pour la CBC et Radio-Canada. Pendant près deux ans, il avait donnĂ© des confĂ©rences Ă ses camarades Ă©tudiants sur le crime de gĂ©nocide et la responsabilitĂ© du Canada afin de prĂ©venir les atrocitĂ©s de masse.Â
Fils d'une mère cĂ©libataire, gay et d’origine cubano-canadienne, Jonathan a Ă©tĂ© Ă©levĂ© dans les banlieues dĂ©favorisĂ©es de MontrĂ©al. Il a très vite compris Ă quel point il Ă©tait privilĂ©giĂ© d'ĂŞtre nĂ© au Canada. Cela a influencĂ© tout ce qu'il a entrepris par la suite. Pour Jonathan, le privilège s'accompagne d'immenses responsabilitĂ©s. Et il est du genre Ă prendre ses responsabilitĂ©s au sĂ©rieux.Â
Au cours des quinze annĂ©es qui ont suivi, Jonathan s'est employĂ© Ă documenter des crises dans le monde entier et Ă plaider en faveur d'une plus grande justice sociale.Â
Dans le cadre de son travail, Jonathan a interviewĂ© des pĂŞcheurs devenus pirates en Somalie, documentĂ© les abus sexuels commis par les casques bleus en RĂ©publique centrafricaine, Ă©tĂ© tĂ©moin de l'Ă©chec des rĂ©volutions en Égypte et en Libye et enquĂŞtĂ© sur l'usage de la force excessive par la police dans des endroits aussi divers que le Chili, le Belarus et les États-Unis.Â
Avec deux annĂ©es passĂ©es Ă vivre Ă Svalbard, dans l'extrĂŞme arctique, et des annĂ©es de reportages dans des endroits touchĂ©s par des Ă©vĂ©nements climatiques extrĂŞmes comme le Sahel et l'Asie centrale, ou avec des rĂ©fugiĂ©s quittant des pays d'AmĂ©rique centrale touchĂ©s par la sĂ©cheresse et les ouragans, Jonathan s'est souvent retrouvĂ© dans le ventre de la bĂŞte climatique. Il sait ce qui s'en vient. Et pourquoi il est urgent de se mobiliser.Â
Jonathan est un gars d'initiative, qui cherche Ă avoir un impact dans tout ce qu'il fait. Il pense que le parti vert du Canada est le seul parti faisant preuve du courage moral nĂ©cessaires Ă faire face aux crises Ă venir. Mais il croit aussi que le parti doit se ressaisir et se prĂ©senter comme l'alternative crĂ©dible qu'il est.Â
Avec Elizabeth May, il demande la confiance des membres afin d'habiliter le Parti vert du Canada à mettre en œuvre les changements dont les Canadiens d'un océan à l'autre ont besoin. Il s'agit, après tout, de notre responsabilité commune.
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