Changes at "Phase Out Subsidies to Animal Agriculture"

The GPC supports phasing out subsidies to the animal agriculture industry through a fair and just transition, encouraging the production of alternatives to that industry’s animal products.

Public policy that the party would represent

Animal agriculture is the largest or second-largest contributor to climate change, depending on how it is measured. It is also responsible for the vast majority of habitat destruction world-wide. If the world adopted a vegan diet, 3 billion hectares could be reforested (the size of Africa). Removing subsidies to this destructive industry is as imperative as removing subsidies to the oil and gas industry. \n\nThe wider environmental community understands this. The scientific community has shown this. It is time for the Green Party of Canada to follow the science. These policies would be instrumental in making Canada a more ecologically sustainable country and help Canadians move closer to living a \"1.5 Degree Lifestyle.\"

Adds to current GPC policy

1. There is no such thing as sustainable beef. Here is a 127-page scientific meta-study on the claims of regenerative \"sustainable\" beef: https://www.oxfordmartin.ox.ac.uk/downloads/reports/fcrn_gnc_report.pdf\n\n2. A recent study showing that eating a vegan diet cuts environmental impact by 75%. \nhttps://www.theguardian.com/environment/2023/jul/20/vegan-diet-cuts-environmental-damage-climate-heating-emissions-study\n\n3. Animal agriculture is the primary driver of habitat loss\nhttps://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26231772/\n\n4. Meat and dairy provide just 18% of calories and 37% of protein, despite using the vast majority – 83% – of farmland and producing 60% of agriculture's direct greenhouse gas emissions.\nhttps://www.science.org/doi/10.1126/science.aaq0216\n\n5. If the livestock sector were to continue with business as usual, this sector alone would account for 49% of allowed emissions to keep warming to 1.5C\nhttps://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/14693062.2018.1528965?journalCode=tcpo20

N/A

Yes

English

Le GPC soutient la suppression progressive des subventions à l'industrie de l'agriculture animale par le biais d'une transition juste et équitable, encourageant la production d'alternatives aux produits animaux de cette industrie.

Politique publique que le parti représenterait

L'agriculture animale est le plus grand ou le deuxième contributeur au changement climatique, selon la façon dont il est mesuré. Elle est également responsable de la majeure partie de la destruction des habitats dans le monde. Si le monde adoptait un régime végétalien, 3 milliards d'hectares pourraient être reboisés (la taille de l'Afrique). Il est tout aussi impératif de supprimer les subventions accordées à cette industrie destructrice que celles accordées à l'industrie pétrolière et gazière.\n\nL'ensemble de la communauté environnementale le comprend. La communauté scientifique l'a démontré. Il est temps que le Parti Vert du Canada suive la science. Ces politiques contribueraient à faire du Canada un pays plus durable sur le plan écologique et aideraient les Canadiens à se rapprocher d'un \"mode de vie à 1,5 degré\".

Addition à la politique actuelle du GPC

1. Le bœuf durable n'existe pas. Voici une méta-étude scientifique de 127 pages sur les allégations de bœuf régénératif \"durable\" : https://www.oxfordmartin.ox.ac.uk/downloads/reports/fcrn_gnc_report.pdf\n\n2. Une étude récente montre qu'un régime végétalien réduit de 75 % l'impact sur l'environnement.\nhttps://www.theguardian.com/environment/2023/jul/20/vegan-diet-cuts-environmental-damage-climate-heating-emissions-study\n\n3. L'agriculture animale est le principal facteur de perte d'habitat\nhttps://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26231772/\n\n4. La viande et les produits laitiers ne fournissent que 18 % des calories et 37 % des protéines, bien qu'ils utilisent la grande majorité - 83 % - des terres agricoles et produisent 60 % des émissions directes de gaz à effet de serre de l'agriculture.\nhttps://www.science.org/doi/10.1126/science.aaq0216\n\n5. Si le secteur de l'élevage devait continuer à fonctionner comme d'habitude, il représenterait à lui seul 49 % des émissions autorisées pour maintenir le réchauffement à 1,5 °C.\nhttps://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/14693062.2018.1528965?journalCode=tcpo20

N/A

Oui

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